Browsing by Author "Ahdjoudj ouissam"
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Item Optimisation D'Une Mrvds: Sensibilité Du Couple Moyen Vis À Vis Des Dimensions Géométrique(Université Mouloud Mammeri, 2010) Chabane Djafar; Berkoune Karima; Ahdjoudj ouissam; Harmim SaïdCe couple moyen représente une augmentation de 18% par rapport au couple moyen de la structure de départ. Nous avons constaté également que la maximisation du couple moyen induit une légère augmentation du taux d’ondulation. Ce travail nous a permis d’approfondir nos connaissances sur les machines spéciales en particuliers les MRV.Le travail que nous avons effectué porte sur l’optimisation de la structure d’une MRVDS. Dans le but d’étudier la sensibilité du couple moyen vis-à-vis des paramètres géométriques, certaines hypothèses ont été posées tout en respectant les contraintes volumique, mécanique et thermique. Pour étudier l’influence des paramètres géométriques sur le couple moyen d’une MRVDS, un calcul analytique à été développé. Cette étude nous a permis de dégager les paramètres sur lesquels on peut agir pour maximiser le couple moyen, à savoir, la hauteur des plots statoriques h , l’angle d’ouverture des plots statoriques ß ° ainsi que l’angle d’ouverture des plots rotoriques ß ° . Nous nous sommes, ensuite, intéressés à l’étude du couple électromagnétique d’une MRVDS 6/4, alimentée en créneaux de courants, à l’aide d’un calcul par la méthode des éléments finis en utilisant le logiciel Maxwell 2D. Pour calculer la valeur moyenne du couple électromagnétique de cette machine, nous avons présenté trois techniques. La première reposant sur le calcul de la moyenne du couple instantané calculé pour plusieurs positions du rotor. Cette façon de faire suppose l’acquisition d’un très grand nombre de points de calcul ce qui la rend très lourde et gourmande en temps. Les deux autres reposent sur l’exploitation de ’expression de couple en fonction de la dérivée de la coénergie par rapport à la position du rotor. On a montré que pour calculer ce couple moyen, d’une façon rapide et très satisfaisante, l suffisait de calculer la dérivée de cette coénergie entre les positions correspondant à la mise en conduction et à l’extinction des transistors associés aux convertisseurs statiques de la commande. Cette technique nous a permis de tester un très grand nombre de structures dans un temps record avec des erreurs acceptables sur le couple moyen. En faisant varier les angles d’ouverture des plots statoriques et rotoriques, pour chaque hauteur des plots statoriques , dans leurs plages de variation dictées par le triangle de faisabilité, nous avons relevé les valeurs du couple moyen max pour chaque structure, puis nous avons fait une étude comparative. Les principaux résultats de cette étude montrent que le couple moyen le plus élevé est obtenu pour une structure de la machine ayant les paramètres suivants ; h = 22.2167mm, ß = 36° et ß = 45°, avec un couple moyen de 20.43 [ . ].