Browsing by Author "Chabane Djafar"
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Item Etude du redresseur à modulation de largeur d'impulsion MLI(Université Mouloud Mammeri, 2011) Chabane Djafar; Berkoune Karima; Seddiki HamidRésume En raison de la révolution de la technologie des semi-conducteurs, l’électronique de puissance à profité d’un développement sans précédent en matière de dispositifs de puissance. Ces éléments ont permis l’émergence de nouvelles structures fonctionnant ; parmi ces derniers figure en première ligne l’onduleur de tension. Ce dernier, par son caractère versatile est à même de remplir la majorité des fonctionnalités qui exige la conduite moderne des réseaux électriques. Le travail que nous avons effectué porte sur l’étude d’un redresseur triphasé à MLI sinus triangle dans le but de commander la tension du bus continu en la maintenant fixe ainsi que les courants coté alternatif après avoir appliqué une perturbation. Après avoir déterminé les éléments de modélisation du modèle topologique de l’onduleur de tension sans neutre raccordé en posant certaines conditions, on la représenté dans les différents référentiel à savoir (abc, aß et dq) à l’aide de logiciel de simulation MATLAB Simulink. Mais ce modèle n’est pas adapté pour les applications où les commutations sont trop fréquentes par rapport au temps de simulation ce qui est notre cas. Le choix d’une modélisation ne faisant pas apparaître les commutations et permettant de tester ces systèmes c’est donc imposé : cela a conduit au choix de la modélisation moyenne, et ce modèle a été validé en comparant ces résultats de simulation avec ceux de modèle topologique. Et c’est ce modèle qui a été retenu pour la suite de travail. Notre régulation est faite dans le repéré (d, q) pour des raisons évoquées au chapitre III. Elle a été réalisée en deux boucles cascades qui sont caractérisées par des dynamiques différentes, l’une dite interne et l’autre dite externe. Le régulateur que nous avons utilisés a été un PI et ces paramètres ont étés déterminés par la méthode de compensation de pôles. Les Résume résultats de simulations sont satisfaisants car même après l’application d’une perturbation, la tension du bus continu et les courants cote alternatif suivent leurs références. Une prochaine étape serait la réalisation de ce redresseur.Item Optimisation D'Une Mrvds: Sensibilité Du Couple Moyen Vis À Vis Des Dimensions Géométrique(Université Mouloud Mammeri, 2010) Chabane Djafar; Berkoune Karima; Ahdjoudj ouissam; Harmim SaïdCe couple moyen représente une augmentation de 18% par rapport au couple moyen de la structure de départ. Nous avons constaté également que la maximisation du couple moyen induit une légère augmentation du taux d’ondulation. Ce travail nous a permis d’approfondir nos connaissances sur les machines spéciales en particuliers les MRV.Le travail que nous avons effectué porte sur l’optimisation de la structure d’une MRVDS. Dans le but d’étudier la sensibilité du couple moyen vis-à-vis des paramètres géométriques, certaines hypothèses ont été posées tout en respectant les contraintes volumique, mécanique et thermique. Pour étudier l’influence des paramètres géométriques sur le couple moyen d’une MRVDS, un calcul analytique à été développé. Cette étude nous a permis de dégager les paramètres sur lesquels on peut agir pour maximiser le couple moyen, à savoir, la hauteur des plots statoriques h , l’angle d’ouverture des plots statoriques ß ° ainsi que l’angle d’ouverture des plots rotoriques ß ° . Nous nous sommes, ensuite, intéressés à l’étude du couple électromagnétique d’une MRVDS 6/4, alimentée en créneaux de courants, à l’aide d’un calcul par la méthode des éléments finis en utilisant le logiciel Maxwell 2D. Pour calculer la valeur moyenne du couple électromagnétique de cette machine, nous avons présenté trois techniques. La première reposant sur le calcul de la moyenne du couple instantané calculé pour plusieurs positions du rotor. Cette façon de faire suppose l’acquisition d’un très grand nombre de points de calcul ce qui la rend très lourde et gourmande en temps. Les deux autres reposent sur l’exploitation de ’expression de couple en fonction de la dérivée de la coénergie par rapport à la position du rotor. On a montré que pour calculer ce couple moyen, d’une façon rapide et très satisfaisante, l suffisait de calculer la dérivée de cette coénergie entre les positions correspondant à la mise en conduction et à l’extinction des transistors associés aux convertisseurs statiques de la commande. Cette technique nous a permis de tester un très grand nombre de structures dans un temps record avec des erreurs acceptables sur le couple moyen. En faisant varier les angles d’ouverture des plots statoriques et rotoriques, pour chaque hauteur des plots statoriques , dans leurs plages de variation dictées par le triangle de faisabilité, nous avons relevé les valeurs du couple moyen max pour chaque structure, puis nous avons fait une étude comparative. Les principaux résultats de cette étude montrent que le couple moyen le plus élevé est obtenu pour une structure de la machine ayant les paramètres suivants ; h = 22.2167mm, ß = 36° et ß = 45°, avec un couple moyen de 20.43 [ . ].