Browsing by Author "Leghlid G."
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Item Effet de la contrainte thermique sur les caractérisriques des tôles FE- Si utilisées dans les circuits magnétiques des machines électriques(Université Mouloud Mammeri, 2010) Leghlid G.; Bitam Feroudja Ép. MegherbiDans ce travail, nous avons étudié l’influence d’une contrainte thermique sur les caractéristiques magnétiques des tôles à grains orientés utilisées dans la construction des transformateurs. Notre étude a également porté sur les tôles à grains non orientés utilisés dans la réalisation des machines électriques tournantes. L’étude de la perméabilité relative en courant continu montre qu’elle est influencée par la contrainte thermique pour les deux types de tôles étudiées. En effet dans le cas des tôles à grains non orientés découpées dans le sens longitudinal, cette perméabilité passe d’une valeur de 10923 pour des tôles vierges à 10361 pour des tôles ayant subi une contrainte thermique de 225°C pendant 168 heures. Dans le cas des tôles à grains non orientés découpées dans le sens transversal, la perméabilité passe par un maximum de 4070 pour les tôles vierges. Ce maximum n’est que de 3883 pour les tôles ayant subi un chauffage de 225°C pendant 168 heures. Il est à noter que les perméabilités des tôles à grains non orientés découpées dans le sens transversal sont médiocres. Dans le cas des tôles à grains orientés, la perméabilité relative passe par un maximum de 49851 pour des tôles vierges. L’étude de la perméabilité relative en alternatif en fonction de la contrainte thermique montre une tendance pas très claire pour les tôles à grains non orientés découpées dans le sens longitudinal. En effet la perméabilité relative augmente puis diminue quand le temps de l’application de la contrainte thermique passe de 24 heures à 168 heures. Pour les tôles à grains non orientés découpées dans le sens transversal, les trois maxima ont l’air confondus. Concernant les tôles à grains orientés, le maximum de la perméabilité relative après chauffage de 24 heures sous 225°C diminue. Ce maximum augmente ensuite pour les tôles ayant subi une contrainte thermique pendant 168 heures et passe au dessus de celui correspondant aux tôles vierges. L’étude des pertes magnétiques en fonction de l’induction maximale montre qu’elles augmentent vers les inductions élevées quand le temps d’application de la contrainte thermique est de 168 heures. Ceci est valable pour les tôles à grains non orientées. Dans le cas des tôles à grains orientés, les pertes mesurées après lacontrainte thermique de 225°C pendant168 heures augmentent pratiquement dès les petites inductions magnétiques. Le tracé des cycles d’hystérésis pour les inductions élevées montre que l’aire du cycle augmente légèrement pour les tôles à grains non orientés suite à la contrainte thermique. Concernant les tôles à grains orientés, l’aire du cycle augmente de manière accentuée entre le chauffage pendant 24 heures et 168 heures. La perspective que pourrait ouvrir ce travail est la poursuite de l’étude des caractéristiques magnétiques des différentes tôles avec des temps d’application de la contrainte thermique plus lents.Item Modélisation et simulation d’une génératrice asynchrone autonome(Université Mouloud Mammeri, 2011) Leghlid G.; Otmane Cherif TaharLa machine asynchrone est actuellement la machine électrique dont l’usage est le plus répandu dans l’industrie, surtout en fonctionnement moteur. En plus, cette machine offre la possibilité d’utilisation comme générateur. Dans ce dernier mode de fonctionnement, la machine asynchrone équipe la majorité des éoliennes dans la gamme de la moyenne puissance. Pour une génératrice asynchrone autonome, l’hypothèse de la linéarité n’a plus de sens, la saturation devient indispensable lors de son fonctionnement. Ce qui nous a amené à étendre le modèle linéaire à la saturation.Notre travail consiste à la modélisation et à la simulation de la génératrice asynchrone auto-excitée. L’utilisation de la machine asynchrone dans ce mode de fonctionnement particulier commence à s’élargir [16-18] grâce d’une part, au développement actuel des dispositifs de l’électronique de puissance, qui permettent de surmonter le problème de régulation de la génératrice autonome [19,20]. D’autre part, grâce aux avantages présentés par la génératrice :son coût peu élevé, sa robustesse, l’absence de contacts glissants, la possibilité de son utilisation dans des endroits hostiles, maintenances non régulière, etc…[21,22]. Ces avantages ont amené beaucoup de chercheurs à se consacrer à l’étude des performances de cette machine. Cependant, la plupart d’entre eux [4-30] n’ont abordé que le fonctionnement en régime établi de la génératrice. Très peu de travaux sont basés sur l’analyse des régimes dynamiques [6-24-26-27-28-29]. Ce qui nous conduit à orienter notre recherche vers l’analyse de ces régimes dynamiques à vide et en charge.