Browsing by Author "Ouhadj, Lamia"
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Item Etude de renforcement de la chaîne d'alimentation en eau potable de la commune d'ait toudert à partir des forages d'Ouacif(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Ouhadj, Lamia; Aberkane, KahinaDans notre étude qui interprète la conception d’un système d’adduction, pour l’approvisionnement en eau potable de la communes d’Ait Toudert, nous avons été guidé par des impératifs techniques, aux quels doivent répondre les divers installations tout en ayant vu les considérations techniques et économiques du projet pour assurer sa durabilité ou sa résistance. L’étude des différentes catégories des besoins en eau est basée sur les dotations qui sont fixées selon le plan de développement national (PDAU, 2008), faisant l’objet de l’estimation en eau de la population. L’évolution des besoins des équipements publics et les besoins industriels dans les différents horizons, sont estimé par rapport aux besoins domestiques. Puisque le but de notre projet étant le renforcement d’alimentation en eau potable de la commune d’Ait Toudert, nous avons procédé à la détermination de la dotation réelle, afin d’illustrer le déficit des besoins et de combler avec une dotation complémentaire. Ainsi, nous avons utilisé les volumes facturés de la dernière année écoulée ; de manière à déterminer le débit maximum journalier à horizon 2043; c’est celui qui est retenue pour dimensionner le réseau d’adduction et les capacités des réservoirs. Pour satisfaire l’ensemble des besoins en eau potable des villages d’Ait Toudert, nous proposons une chaine d’adduction complémentaire alimentée à partir des forages implantés sur la nappe « Ouacif Larbâa ». Le nombre de forage nécessaires pour couvrir le déficit en eau estimé à 24, 70 l/s est de trois, Les forges seront réalisés avec un rayon d’action de 120m. Concernant la qualité de cette eau, les paramètres physico-chimiques obtenus à partir des analyses de l’eau des forages répondent bien aux normes de consommation arrêtées par l’OMS. Par contre, les paramètres bactériologiques sont de mauvaise qualité ; d’où la nécessité d’une désinfection avant toute distribution, pour une destruction ou inactivation de ces germes pathogènes. Par conséquent, on peut procéder soit par chlore ou ses dérivés, ou par l’Ozone (voie chimique), ou bien par le chlore actif ou les rayonnements absorbants (voie physique). La désinfection par le Chlore est plus répandue. Elle consiste à maintenir un taux de chlore résiduel libre compris entre 0.2 et 0.4mg/l. Le dimensionnement des conduites d’adduction (refoulement, gravitaire), à été fait sur la base des besoins maximums en eau de la population ; c’elle ci nous permet de calcul les diamètres économique nécessaire avec des frais minimum. Pour la réussite totale du projet, la pose des conduites ne doit subir aucune défaillance, la bonne mise en oeuvre du réseau sa diffère selon le tracé, l’importance du réseau, la nature du sol, cet ensemble de critères du cite doit être respecter. Le problème de corrosion éliminé d’une manière significative, par le choix d’un nouveau matériau qui est le tube polyéthylène à haute adhérence (PEHD) qui représente le meilleur matériau pouvant être préconisé pour les conduites d’adduction car il présente une meilleure résistance à la corrosion. Vue l’importance de stockage des réservoirs existant, il s’avère impératif de projeté deux réservoirs ; un réservoir de transit R1 de capacité 400 m3, et un autre réservoir R2 dans la zone d’étude Tourirt de capacité 800m3 qui sera jumelé avec le réservoir existant de capacité100m3. Pour les pompes: Nous avons choisie pour Les forages d’Ouacif refoulant vers le réservoir de transite R1, trois pompes verticales, une pompe immergée dans chaque forage de type MS6000 de trois étage plus une de secoure, pour relevé un débit total de 24.7l/s. Pour la station de reprise nous avons choisie une pompe multicellulaire "Jeumont Schneider" pour relevé un débit total de 24.7l/s avec une hauteur de 172.29m, plus une autre de secours. Enfin, Pour que la conduite reliant les forages et le réservoir de transit soit protégée sur toute sa longueur, que se soit dans le sens (SR, conduite) par une surpression ou dans le sens contraire par une dépression, il devient nécessaire de l’équiper d’un réservoir (eau + air comprimé) d’un volume total 1.878 m3 avec un volume d’air en fonctionnement normal, U0 = 1.221m3.