Browsing by Author "Slimani, Dalila"
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Item Dérivation non entiere : Application en traitement d'image(Université Mouloud Mammeri, 2012) Slimani, DalilaLe formalisme de la dérivation et de l’intégration non entière qui constitue le calcul fractionnaire est un vieux concept datant de l’époque de cauchy. C’est une généralisation de la notion de dérivée d’ordre entier d’une fonction f(x) par rapport à la variable x à des valeurs non entières de . Si est négatif, il s’agit d’une intégration non entière et si est positif, on parle d’une dérivation non entière. La discrétisation de la dérivation non entière (DNE) permet la mise en oeuvre d’opérateurs de segmentation d’images par contours ou par régions. L’objectif est de chercher l’ordre non entier de dérivation qui donne une meilleure segmentation de l’image selon un critère donné. Ainsi, la DNE peut être appliquée sous deux formes discrètes, à deux dimensions pour un filtrage de l’image originale et à une dimension en considérant l’histogramme de l’image originale. Dans notre mémoire, nous avons utilisé deux critères de segmentation d’images pour le choix de l’ordre de dérivation, à savoir la maximisation de l’entropie totale de l’image et la minimisation de la variance intraclase. L’utilisation séparée de l’entropie et de la variance intraclasse comme critère pour ce choix ne donne pas de bons résultats. Pour y remédier, nous avons utilisé la combinaison linéaire des résultats obtenus par les deux critères. L’étape suivante de notre travail, consiste à évoluer les résultats obtenus. Pour cela nous avons d’abor effectué une comparaison entre les deux méthodes utilisées (DNE-1D et DNE-2D) et la méthode d’Otsu, et par la suite évaluer quantitativement la qualité de la segmentation en utilisant le critère signal/bruit. Afin d’améliorer d’avantage les résultats, nous prévoyons d’utiliser d’autres critères, ou encore fixer l’ordre de dérivation et nous orienter vers la variation de la taille du masque utiliséItem Etude de deux méthodes de la coagulation floculation : la biocoagulation et l’électrocoagulation(Université Mouloud Mammeri, 2021) Slimani, Dalila; Soufi, OuissemDans cette étude, nous nous sommes intéressés aux procédés de coagulation dans le traitement des eaux de surface par voies électrochimique et biologique.Dans la biocoagulation nous avons testé des coagulants organiques, tel que le Cactus, Moringa Oleifera et le Tanin avec différentes concentrations. Le suivi de paramètres physico-chimiques à différents temps de décantation a permis de déterminer les conditions optimales et d’évaluer l’efficacité des traitements. Des résultats, il est ressorti qu’en fonction des caractéristiques des eaux, le temps de décantation compris entre 1 et 2heuresest suffisant pour éliminer presque la totalité des matières en suspension et des colloïdes. L’abattement de la turbidité obtenu était de 92,19% pour MO en graine, celle du cactus 88,29% ; le tanin (79,51 %) et MO en feuilles (61,46%) pour un temps de décantation de 2 heures.Pour l’électrocoagulation: le pH, la densité du courant, le temps de contact, la concentration initiale et la distance inter électrode ont été étudiés en utilisant les lames d’électrodes de fer, d’aluminium et du cuivre. Les expériences ont été réalisées dans un réacteur en batch. Dans le souci d’étudier la performance des différentes électrodes sur l’élimination de la turbidité, les électrodes de fer, d’aluminium et de cuivre ont été choisies. Les résultats de ces expériences ont montrés que le cuivre est plus efficace avec un abattement de la turbidité de 99,21%, suivie de l’aluminium (96,48%) et du fer (95,70%).