Département de Biologie
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Item Action des poudres et des huiles de quelques plantes aromatiques sur les paramètres biologiques de la bruche du Haricot, Acanthoscelides obtectus Say. (Coleoptera : Bruchidae)(Université Mouloud Mammeri, 2012-10-21) Hamdani, DjilaliLa toxicité des huiles essentielles, ainsi que des poudres de feuilles, extraites de 4 espèces de Citrus (C. sinensis, C. paradisi, C. limonum, C. aurantium) a été testée vis-à-vis de la bruche Acanthoscelides obtectus, afin d’évaluer quelques paramètres biologiques de l’insecte à savoir la longévité, la fécondité, l’éclosion des œufs et l’émergence des adultes. Les essais à savoir le test d’inhalation, le test de répulsion et le test par contact sur des graines d'haricot commun traitées ont été réalisés dans les conditions de laboratoire (30°C et 70% HR). L’étude réalisée nous permet de conclure que la durée moyenne du cycle biologique de l’insecte, dans les conditions de notre expérimentation est de 30±2 jours. L’incubation dure 6±1 jours tandis que les 4 stades larvaires et la nymphose ont une même durée de développement qui est 12±1 jours. Les résultats obtenus pour les paramètres étudiés indiquent que les huiles essentielles et les poudres extraites du citronnier, de l’oranger et du pamplemoussier exercent une toxicité plus ou moins importante vis-à-vis d’A. obtectus pour l’ensemble des tests effectués, cependant l’huile et la poudre extraite du bigaradier sont les plus efficace contre la bruche du haricot.Item Action des radiations bleues sur le développement des embryons zygotiques du Palmier dattier (Phoenix dactylifera L.) Cv. Takerboucht cultivés in-vitro(Université Mouloud Mammeri, 2010) Ghobrini, DjillaliDes expériences conduites in vitro avec des embryons excisés de palmier dattier Cv. Takerboucht, variété résistante au bayoud, a apporté des améliorations à la technique de culture d’embryons matures. Ainsi, le taux et la vitesse de germination sont nettement améliorés. Les meilleurs taux de germination ont été enregistrés sur le milieu de base MS modifié par référence, respectivement, aux travaux réalisés sur le palmier dattier par RHISS (1980) (MSm1) et YAKOUB-BOUGDAL (1984) (MSm2). Ainsi, la culture des embryons, en position debout a entraîné des taux élevés de régénération de 100 % sur MSm1 et de 91,67 % sur MSm2, après 2 mois de culture. De plus, l’addition du saccharose a montré que les fortes concentrations (50 g.l-1) assurent un bon aspect morphologique. Alors que l’addition de l’ANA à 1 mg.l-1 parait être plus favorable à la production de plants. Nous avons tenté un traitement en lumière bleue (P380), l’étude révèle l’effet bénéfique d’un court traitement aussi bien sur la réduction du temps moyen de germination que dans l'obtention de jeunes plants vigoureux. De plus, l’étude a mis en évidence l’effet rhizogène d’un traitement composite (bleue/blanche). Les variations des teneurs en leucoanthocyanes reflètent les variations de sensibilité de l’embryon à la lumière. Les radiations bleues induisent très fortement la synthèse de ces composés durant seulement les deux premières semaines de culture (15,05 mg.g-1 sur MSm1 et 15,97 mg.g-1 sur MSm2) et, par la suite, les teneurs diminuent. Ces teneurs sont corrélées positivement au développement des embryons si le temps d’exposition à la lumière bleue ne dépasse pas une semaine.Item Action des radiations bleues sur le développement des embryons zygotiques du Palmier dattier (Phoenix dactylifera L.) Cv. Takerboucht cultivés in-vitro(Université Mouloud Mammeri, 2010) Ghobrini, DjillaliDes expériences conduites in vitro avec des embryons excisés de palmier dattier Cv. Takerboucht, variété résistante au bayoud, a apporté des améliorations à la technique de culture d’embryons matures. Ainsi, le taux et la vitesse de germination sont nettement améliorés. Les meilleurs taux de germination ont été enregistrés sur le milieu de base MS modifié par référence, respectivement, aux travaux réalisés sur le palmier dattier par RHISS (1980) (MSm1) et YAKOUB-BOUGDAL (1984) (MSm2). Ainsi, la culture des embryons, en position debout a entraîné des taux élevés de régénération de 100 % sur MSm1 et de 91,67 % sur MSm2, après 2 mois de culture. De plus, l’addition du saccharose a montré que les fortes concentrations (50 g.l-1) assurent un bon aspect morphologique. Alors que l’addition de l’ANA à 1 mg.l-1 parait être plus favorable à la production de plants. Nous avons tenté un traitement en lumière bleue (P380), l’étude révèle l’effet bénéfique d’un court traitement aussi bien sur la réduction du temps moyen de germination que dans l'obtention de jeunes plants vigoureux. De plus, l’étude a mis en évidence l’effet rhizogène d’un traitement composite (bleue/blanche). Les variations des teneurs en leucoanthocyanes reflètent les variations de sensibilité de l’embryon à la lumière. Les radiations bleues induisent très fortement la synthèse de ces composés durant seulement les deux premières semaines de culture (15,05 mg.g-1 sur MSm1 et 15,97 mg.g-1 sur MSm2) et, par la suite, les teneurs diminuent. Ces teneurs sont corrélées positivement au développement des embryons si le temps d’exposition à la lumière bleue ne dépasse pas une semaine.Item Analyse de la diversité floristique et de la phytodynamique de la série de végétation à Cedrus atlantica au Djurdjura Centro-méridional (Secteur de Tikjda)(Université Mouloud Mammeri, 2015) Larbi, RadiaUne étude de la diversité floristique et de la phytodynamique de la série de végétation à Cedrus atlantica a été menée à Tikjda, sur le versant méridional du Djurdjura, qui dépend administrativement du parc national du Djurdjura et est situé en bioclimat humide à hiver frais. Lors de cette étude, 90 relevés floristiques ont été réalisés selon la méthode phytosociologique. Une analyse numérique des données floristiques, nous a permis de déterminer trois groupements végétaux, pour lesquels une description physionomique, floristique et écologique ainsi qu’une interprétation phytosociologique ont été effectuées. Les trois groupements végétaux qui ont pu être mis en évidence sont : - la cédraie forestière mésophile, située à Taouialt et Tighilt Tabount, appartenant à l’association Senecio perralderiani–Cedretum atlanticae, et marquée par la présence exclusive de Taxus baccata, - La cédraie préforestière mésophile à Juniperus communis subsp. hemisphaerica, localisée à Tigounatine Nord en ubac, - La cédraie thermophile à chêne vert, localisée sur le site du Rocher du pigeon, en adret, qui se rapporte aussi aux Quercetea pubescentis et Querco-Cedretalia atlanticae, avec une abondance des espèces caractéristiques des Quercetea ilicis. L’étude des caractères dendrométriques, structuraux et dynamiques de ce versant, sur la base de 40 relevés dendrométriques, et l’estimation de l’action anthropique à travers les divers facteurs estimés dans cette étude, concerne l’ensemble du massif forestier de Tikjda. L’état actuel de la forêt de Tikjda est incontestablement impacté par ces différentes perturbations anthropiques(coupes de bois, incendies, surpâturage, surfréquentation, etc.), en particulier la cédraie forestière et préforestière.Item Biodiversité et distribution des collemboles sur l'ecotone eau-sol forestier au niveau de deux zones humides : Mare aux canards ( El Kala) et Mare de Boumessaoud (Grande Kabylie)(Université Mouloud Mammeri, 2012-06-11) Bounoua, SabrinaLe présent travail s’intéresse particulièrement aux collemboles de la zone de transition (Écotone) entre écosystème aquatique et terrestre, au niveau de deux zones humides du nord de l’Algérie : la mare aux canards située au niveau du parc national d’El kala (El Taref) et la mare de Boumessaoud (Grande Kabylie). Cette zone a été décrite par de nombreux auteurs, mais leur appréciation sur la structure et la biodiversité de tels milieux reste différente. Dans ce travail, les récoltes de Collemboles ont permis de dénombrer un total de 2538 individus répartis sur 41 espèces. Les Entomobryomorphes se révèlent dominants dans les deux sites. Les Poduromorphes sont moins bien représentés sans doute en raison de l’échantillonnage choisi qui ne permet pas de récolter la faune du sol profond; ou de la forte instabilité du taux d’humidité dans le sol au voisinage immédiat du plan d’eau comme c’est le cas à Boumessaoud. La mare aux canards se révèle plus diversifié (29 espèces) comparée à celle de Boumessaoud (21 espèces). La diversité et la richesse spécifique sont influencées par le piétinement qui est plus accentué au niveau de la mare de Boumessaoud. Ce dernier provoque le tassement et la diminution de la porosité du sol qui induisent une gêne dans le déplacement de la faune endogée. Au niveau de la mare aux canards, c’est l’isolement de cette mare de la forêt de Brabtia, par un gabionnage, qui empêche le déplacement libre des collemboles entre les deux écosystèmes. Le passage du milieu aquatique au sol forestier semble se faire sans transition car la faune récoltée et les paramètres écologiques étudiés n’ont pas permis de définir une zone intermédiaire ou Ecotone. Ce dernier ne présente en effet ni richesse ni diversité particulières pouvant le distinguer des autres milieux. D’après les résultats de ce travail, ceci est dû essentiellement au fait que le milieu aquatique comporte un très faible nombre d’espèces hydrophiles. La faune Collembologique recensée entre le milieu aquatique et le sol forestier est le plus souvent dominée par la faune provenant de la forêt environnante. 48,7 % de la faune récoltée n’a pas été identifié au niveau spécifique, cette proportion permet de nous attendre à d’importantes découvertes d’espèces nouvelles, ce qui prouve que cette faune est encore mal connue et nécessite de nouvelles prospections.Item Bioécologie de la bruche de la fève Bruchus rufimanus Boh. (Coleoptera : Bruchidae) dans des parcelles de variétés de fèves différentes et de féverole dans la région de Tizi-Rached (Tizi-Ouzou)(Université Mouloud Mammeri, 2011-11-03) Mezani, SamirDans le présent travail, nous avons étudié la bioécologie de la bruche de la fève Bruchus rufimanus dans des parcelles de variétés de Vicia faba major différentes à savoir la Séville, l’Aguadulce et la Muchaniel, et une parcelle de Vicia faba minor dans la région de Tizi-Rached. Les résultats obtenus montrent que l’arrivée des premières bruches coïncide la pleine floraison pour la variété Séville et Muchaniel ; alors que l’Aguadulce et la Féverole sont colonisées au début de floraison. L’activité de ces adultes varie dans le temps et dans l’espace. L’activité la plus importante est observée sur les fleurs à la troisième semaine de notre échantillonnage dans les parcelles. Cette activité semble être influencée par les conditions climatiques et les ressources trophiques. L’ingestion du pollen semble nécessaire pour l’activité reproductrice. La ponte s’échelonne sur une période d’environ 8 semaines pour la variété Séville, Muchaniel, Féverole et de 9 semaines pour la variété Aguadulce. Les femelles semblent déposer au hasard leurs œufs sur les gousses jeunes et les gousses âgées de chaque hôte. Nos résultats montrent que la bruche est intimement liée à sa plante hôte V. faba qu’elle utilise pour divers fonctions ; reproduction, développement et site d’hivernation. Nos résultats montrent également que la variété agit de façon significative sur le taux d’infestation par les femelles de B. rufimanus dans les parcelles de V. faba étudiées. La variété Muchaniel est la plus attaquée, suivie par les variétés Aguadulce et Séville ; tandis que la Féverole est la moins infestée. Le développent larvaire s’effectue en quatre stades et s’échelonne sur quatre mois dans la parcelle à variété Séville et Aguadulce, trois mois et 23 jours pour la variété Muchaniel et trois mois et 15 jours pour la Féverole. Il commence dans les graines vertes et se poursuit dans les graines mûres et sèches. Les adultes émergent des graines vers la troisième semaine du mois d’août.Item Bioécologie de la bruche de la fève Bruchus rufimanus Boh. (Coleoptera: Bruchidae) dans des parcelles de variétés de fèves différentes et de féverole dans la région de Tizi-Rached (Tizi-Ouzou).(Université Mouloud Mammeri, 2011-11-03) Mezani, SamirDans le présent travail, nous avons étudié la bioécologie de la bruche de la fève Bruchus rufimanus dans des parcelles de variétés de Vicia faba major différentes à savoir la Séville, l’Aguadulce et la Muchaniel, et une parcelle de Vicia faba minor dans la région de Tizi-Rached. Les résultats obtenus montrent que l’arrivée des premières bruches coïncide la pleine floraison pour la variété Séville et Muchaniel ; alors que l’Aguadulce et la Féverole sont colonisées au début de floraison. L’activité de ces adultes varie dans le temps et dans l’espace. L’activité la plus importante est observée sur les fleurs à la troisième semaine de notre échantillonnage dans les parcelles. Cette activité semble être influencée par les conditions climatiques et les ressources trophiques. L’ingestion du pollen semble nécessaire pour l’activité reproductrice. La ponte s’échelonne sur une période d’environ 8 semaines pour la variété Séville, Muchaniel, Féverole et de 9 semaines pour la variété Aguadulce. Les femelles semblent déposer au hasard leurs oeufs sur les gousses jeunes et les gousses âgées de chaque hôte. Nos résultats montrent que la bruche est intimement liée à sa plante hôte V. faba qu’elle utilise pour divers fonctions ; reproduction, développement et site d’hivernation. Nos résultats montrent également que la variété agit de façon significative sur le taux d’infestation par les femelles de B. rufimanus dans les parcelles de V. faba étudiées. La variété Muchaniel est la plus attaquée, suivie par les variétés Aguadulce et Séville ; tandis que la Féverole est la moins infestée. Le développent larvaire s’effectue en quatre stades et s’échelonne sur quatre mois dans la parcelle à variété Séville et Aguadulce, trois mois et 23 jours pour la variété Muchaniel et trois mois et 15 jours pour la Féverole. Il commence dans les graines vertes et se poursuit dans les graines mûres et sèches. Les adultes émergent des graines vers la troisième semaine du mois d’août.Item Bioécologie de la mineuse de la tomate Tuta absoluta (MEYRICK, 1917) (Lepidoptera : Gelechiidae) sur trois variétés de tomate sous serre (Zahra, Dawson et Tavira) dans la wilaya de Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-15) Chougar, SafiaLa mineuse de la tomate Tuta absoluta Meyrick (Lepidoptera : Gelechiidae) est un microlépidoptère très redoutable, qui cause depuis quelques années des dégâts, dont la conséquence est l’anéantissement des productions entières de tomate, aussi bien sous serre qu’en plein champ. Notre travail est une première initiative d’étude sur la bioécologie du ravageur en Kabylie. Deux régions ont été choisies elles sont représentées par le littoral (région d’Azeffoun) et le sublittoral (Sidi- Naâmane). Trois variétés de tomate Zahra, Dawson et Tavira ont fait l’objet de l’étude durant la période s’étalant d’Avril 2011 à Septembre 2011. Les résultats que nous avons obtenus, nous montrent que les facteurs climatiques (température et taux d’humidité) aussi bien au littoral qu’au sublittoral n’influencent pas sur le nombre d’adultes capturés dans les pièges à phéromones tout au long des semaines d’échantillonnage. Par contre ces mêmes facteurs ont une incidence sur l’activité et le développement du ravageur. Les résultats sous conditions de serre mettent en évidence la présence de 03 générations pour la variété Zahra, 06 générations pour la variété Dawson et quatre générations pour la variété Tavira, avant la destruction totale de la production. L’étude de la dynamique des populations confirment les mêmes résultats chez les trois variétés de tomate, à savoir que sur les quatre stades larvaires, le stade L3 est le plus important, et le stade L1 est le point représentatif lors des différents échantillonnages. Les observations effectuées nous indiquent qu’il n’y a aucune résistance variétale aussi bien au littoral qu’au sublittoral. Alors que le taux d’infestation est beaucoup plus important sur les étages foliaires apicaux. Quant aux femelles de T.absoluta, elles ont une préférence de ponte sur les faces inférieures des variétés Zahra et Dawson et sur les faces supérieures de la variété Tavira.Item Bioécologie de la mineuse de la tomate Tuta absoluta (MEYRICK, 1917) (Lepidoptera : Gelechiidae) sur trois variétés de tomate sous serre (Zahra, Dawson et Tavira) dans la wilaya de Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-15) Chougar, SafiaLa mineuse de la tomate Tuta absoluta Meyrick (Lepidoptera : Gelechiidae) est un microlépidoptère très redoutable, qui cause depuis quelques années des dégâts, dont la conséquence est l’anéantissement des productions entières de tomate, aussi bien sous serre qu’en plein champ. Notre travail est une première initiative d’étude sur la bioécologie du ravageur en Kabylie. Deux régions ont été choisies elles sont représentées par le littoral (région d’Azeffoun) et le sublittoral (Sidi-Naâmane). Trois variétés de tomate Zahra, Dawson et Tavira ont fait l’objet de l’étude durant la période s’étalant d’Avril 2011 à Septembre 2011. Les résultats que nous avons obtenus, nous montrent que les facteurs climatiques (température et taux d’humidité) aussi bien au littoral qu’au sublittoral n’influencent pas sur le nombre d’adultes capturés dans les pièges à phéromones tout au long des semaines d’échantillonnage. Par contre ces mêmes facteurs ont une incidence sur l’activité et le développement du ravageur. Les résultats sous conditions de serre mettent en évidence la présence de 03 générations pour la variété Zahra, 06 générations pour la variété Dawson et quatre générations pour la variété Tavira, avant la destruction totale de la production. L’étude de la dynamique des populations confirment les mêmes résultats chez les trois variétés de tomate, à savoir que sur les quatre stades larvaires, le stade L3 est le plus important, et le stade L1 est le point représentatif lors des différents échantillonnages. Les observations effectuées nous indiquent qu’il n’y a aucune résistance variétale aussi bien au littoral qu’au sublittoral. Alors que le taux d’infestation est beaucoup plus important sur les étages foliaires apicaux. Quant aux femelles de T.absoluta, elles ont une préférence de ponte sur les faces inférieures des variétés Zahra et Dawson et sur les faces supérieures de la variété Tavira.Item Bioécologie du psylle de l'olivier Euphyllura olivina (Hemiptera : Aphalaridae) Costa 1839 et l'entomofaune de l'olivier dans quatre oliveraies de la région de Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2014-04-10) Laoudi, TinhinaneCe présent travail porte sur la bioécologie du psylle de l'olivier Euphyllura olivina Costa 1839 (Hemiptera : Aphalaridae) et l'entomofaune de l'olivier. Il est mené dans quatre biotopes de la région de Tizi-Ouzou : deux en haute altitude (Béni-Douala) et deux en basse altitude (Laazib Ahmed). Les résultats obtenus montrent que le cycle de développement d'E. olivina est étroitement lié aux conditions climatiques et à l'état végétatif de l'arbre hôte, l'olivier. Le suivi de la dynamique des populations de ce déprédateur montre qu'il est présent dans nos vergers durant toute la période d'échantillonnage avec des effectifs variables. Ce ravageur effectue son cycle biologique en trois générations, deux générations printanières importantes et une génération automnale de moindre importance. La variabilité des pontes diffère selon l'âge de l'oliveraie dans la région de Béni-Douala, alors que dans la région de Laazib Ahmed la différence n'est pas significative. L'altitude de l'oliveraie agit également sur la ponte de l'insecte. Les facteurs intervenant dans la régulation des populations du psylle sont d'ordre abiotique comme la conduite du verger et les conditions climatiques, et biotique comme le parasitisme et la prédation. Le suivi du taux du parasitisme montre qu'une faible proportion des nymphes est éliminée par Psyllaephagus euphyllurae SILV. (Hymenoptera : Encyrtidae). Au contraire, la faune antagoniste joue un rôle non négligeable avec des niveaux de populations variables d'une oliveraie à l'autre. Cette faune comprend des prédateurs de la famille des Miridae, Anthocoridae, Chrysopidae et Syrphidae avec une dominance des MiridaeItem Bioécologie et diapause reproductrice de la bruche de la fève Bruchus rufimanus dans deux parcelles de fève et féverole dans la région de Haizer (Bouira)(Université Mouloud Mammeri, 2014-05-28) Aoudjit, SihamPour mieux combattre le ravageur de la fève Bruchus rufimanus, nous avons étudié sa bioécologie sur deux parcelles de variété Vicia faba major et Vicia faba minor dans la région de Haizer. Nous avons constaté que l’arrivée des premières bruches coïncide avec la pleine floraison pour les deux variétés. L’activité des adultes commencent dès que les conditions climatiques sont favorables (température de 17°C et la photopériode de 11h00 mn) et quand les sources trophiques sont disponibles. La période de la ponte s’échelonne sur 28 jours pour la variété Séville, et 35 jours pour la variété Féverole. Elle varie selon les conditions climatiques. L’oviposition s’effectue sur toutes les gousses quelque soit leur stade de croissance. Le développement larvaire a lieu pendant la phase de maturation des gousses. Il s’effectue en 4 stades larvaires L1, L2, L3 et L4 et un stade nymphal. Le cycle de développement complet de la bruche depuis la ponte des oeufs jusqu’à l’émergence du premier adulte dure environ 4 mois et 16 jours pour la parcelle à variété Séville et 4 mois et 18 jours pour la parcelle à variété Féverole. Le suivi des concentrations des protéines hémolymphatiques montre que celles-ci sont élevées au début de la diapause reproductrice, ce qui peut être expliqué par le stocke les protéines durant la vie larvaire. Le taux des protéines décroit de façon importante au mois d’avril, cette réduction est en rapport avec la reprise de l’activité et la colonisation des champs de la fève pour la recherche de la nourriture, du partenaire sexuel, déplacement et autres activités d’entretien.Item Caractérisation du lait de chèvre collecté localement : Séparations chromatographiques et contrôles électrophorétiques des protéines(Université Mouloud Mammeri, 2011-11-22) Moualek, IdirLe lait caprin, qui est très prisé en France notamment où de nombreux fromages de renommé y sont fabriqués, pourrait répondre aux besoins des populations vivant en montagne, qui peuvent le consommer à l’état frais ou transformé sous forme de dérivé. Néanmoins, pour ce dernier cas, il est établi que seuls les laits possédant la caséine α S1 exprimée avec un fort pourcentage pourraient donner lieu à la fabrication de fromages. Pour cela, nous avons mené une étude qui vise dans un premier temps à évaluer les caractéristiques physico-chimiques du lait caprin collecté dans trois régions de Tizi-Ouzou. Les analyses effectuées ont portées sur le pH, l’acidité, l’extrait sec total, les protéines, la matière grasse, le lactose et la vitamine C. Les résultats obtenus pour ces paramètres, notamment l’extrait sec (109,3g/l), la matière grasse (30,7g/l), le lactose (39,1g/l) et les protéines (26g/l), font état de la bonne valeur nutritionnelle du lait collecté localement. Néanmoins, les teneurs obtenues sont en deçà de celles du lait bovin analysé dans les mêmes conditions. Dans un deuxième temps, nous avons procédé à l’isolement et à la caractérisation des protéines. Pour cela, nous avons utilisé la précipitation à pH isoélectrique des caséines (pH 4.2) suivie de la chromatographie d’échange d’ions sur DEAE-cellulose. Les fractions ont ensuite été contrôlées par électrophorèse sur gel de polyacrylamide dans différentes conditions (natives, en présence d’urée, en présence de SDS). Les profils électrophorétiques résultants, ont permis d’identifier des analogies entre le lait caprin et bovin comme ils ont permis de mettre en relief certaines particularités liées tant aux caséines notamment ( S) qu’aux protéines sériques (PP3, α-La et β-Lg). L’utilisation de la résine anionique faible en une seule étape de séparation chromatographique est avantageuse dans le sens où elle a abouti à l’isolement de protéines caprines (caséine β, caséines α S, PP3, SA et β-Lg) avec un haut degré de pureté.Item Comparaison des caractéristiques du régime alimentaire et de l’occupation de l’espace de la Genette (Genetta genetta L.1758) dans deux milieux du Nord algérien : Parcs Nationaux du Djurdjura et d’El- Kala(Université Mouloud Mammeri, 2012-07-12) Mallil, KahinaL’écologie trophique de la Genette et son occupation de l’espace ont été étudiés de septembre 2010 à janvier 2012, dans deux localités du nord algérien : les parcs nationaux du Djurdjura et d’El- Kala. L’analyse de 681 fèces révèle des régimes très diversifiés comptant 1128 items alimentaires à Darna et 1074 à El-Kala, et des différences marquées entre les deux régions. L’analyse des données révèle que le régime de la Genette est diversifié de même que l’espèce est plutôt généraliste et présente un caractère opportuniste. D’autre part, le Mulot représente la proie principale à Darna alors que les insectes sont les plus consommés à El-Kala. Le mulot en Algérie comme à l’échelle des autres régions où est présente la Genette, est chassé quelque soit ses effectifs. Des proies secondaires diverses complètent le menu, selon les fluctuations saisonnières. Quelques différences saisonnières sont remarquées. Le calcul des indices de diversité et d’équirépartition s’avèrent assez élevés pour les deux sites. Les stratégies d’occupation de l’espace par la Genette dépendent de plusieurs critères : quiétude, disponibilité des ressources alimentaires, présence de rochers servant de latrines, présence d’abris, couvert végétal dense. Elle fréquente habituellement des endroits fixes de défécation, nommés latrines. Nous en avons décrits 31 à Darna et 20 à El-Kala, dont la fréquentation dépend de facteurs environnementaux précis tels que la densité du couvert végétal, les perturbations anthropiques ou encore les variations saisonnières. Les milieux occupés traduisent les disponibilités en ressources (proies principalement) et reflètent le comportement adopté par ce viverridé en plus des perturbations observées dans chacun des habitats.Item Contribution à l’étude des propriétés antibactériennes et antioxydantes de certaines huiles essentielles extraites des Citrus. Application sur la sardine (Sardina pilchardus).(Université Mouloud Mammeri, 2011) Hellal, ZohraLes extraits naturels issus des végétaux contiennent une variété de composés phénoliques ainsi que des huiles essentielles (H.Es) auxquels on attribue un pouvoir inhibiteur des microorganismes et des capacités antioxydantes. Les H.Es extraites par hydrodistillation à partir des zestes d’agrume de C. limonum, C. sinensis et C. aurantium ont présenté un faible rendement allant de 0,5 à 0,7%. La composition chimique de ces H.Es est déterminée par la chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse (CG-SM). Les résultats de l’analyse ont montré que les huiles étudiées sont constituées principalement de limonène (77,37%) pour l’H.E de C. sinensis; d’acétate de linalyle (37,28%), de linalol (23,36%) et de citral (10,45%) pour l’H.E de C. aurantium ; et que l’H.E de C. limonum est composée du limonène (51,39%), β- pinène (17,04%), γ-terpinène (13,46%) et α-pinène (3,07%). L’activité antibactérienne des huiles de C. limonum et de C. aurantium a été étudiée sur S. aureus, Ps. aeruginosa, Salmonella Enteritidis et, Escherichia coli. S. aureus est le seul germe à présenter une sensibilité aux huiles de C. limonum et C. aurantium avec des diamètres d’inhibition de 38 mm et 24 mm respectivement. L’étude de l’activité inhibitrice « in vitro », a montré, que les H.Es de C. limonum et de C. aurantium ont présenté des CMIs de l’ordre de 4% et de 2%. Au terme de notre étude nous avons évalué les activités antibactérienne et antioxydante des H.Es de C. limonum et de C. aurantium sur une matrice alimentaire (Sardine: Sardina pilchardus). Pour l’activité antibactérienne contre S. aureus des valeurs de CMI x 1 et CMI x 4 ont été appliquées ainsi qu’un suivi de la cinétique de la croissance bactérienne pendant 7 jours de conservation à 6 ± 1°C. Les résultats obtenus ont révélé que la CMI x 4 de l’H.E de C. aurantium a réduit complètement la croissance de S. aureus en moins de 24 heures d’incubation. Concernant l’activité antioxydante, elle a été testée à des concentrations d’H.Es allant de 500 ppm à 3000 ppm. Les résultats ont montré que sans équivoque, l’H.E de C. aurantium comparativement à l’H.E de C. limonum a réduit de manière significative l’oxydation des lipides de la sardine. Ces données montrent que les H.Es constitueraient une solution alternative aux conservateurs synthétiques dans le domaine agro alimentaire.Item Contribution a l’étude Morphométrique et Biogéographique des Ophidiens de la Kabylie (Algérie).(Université Mouloud Mammeri, 2013-12-18) Targa, SihamItem Distribution et Causes du Dynamisme du Héron Garde-boeufs (Bubulcus ibis) dans la vallée du Sébaou Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-18) Benani, DalilaNotre étude s’inscrit dans le cadre d’une contribution à la connaissance des causes du dynamisme du Héron garde-boeufs (Bubulcus ibis) en Algérie notament dans le centre Nord Algérien, dans la région de Tizi-Ouzou. Cet Echassier qui manifeste une extension démographique et géographique dans le monde, suscite l’intérêt de la présentation d’un état des lieux sur sa répartition à l’échelle nationale. Ce travail a conduit à des résultats d’une enquête nationale menée de septembre 1994 à mai 1995 concluant la présence de l’espèce tant en hivernage qu’en nidification dans plusieures régions du pays notamment dans le centre et l’Est. A une échelle territoriale plus réduite, en Kabylie, nous avons mené un travail de suivi des colonies en hivernage et en nidification pendant une période de trois années de 1993 à 1994, où les résultats concluent quant à l’augumentation et la prospérité des population du Héron garde-beoufs dans la région : - Le nombre de nicheurs est passé de 60 couples en 1993 à 706 couples en 1995 - Les hivernants sont passés de 450 individus en 1993 à 990 individus en 1995 Dans une dernière partie nous avons examiné et suivi un échantillon de reproduction d’une colonie dans un des nucleus à Tizi-Ouzou. Les phases de la phénologie de reproduction sont décrites et le succès de reproduction est estimé à 75% avec une taille de ponte moyenne de 4 inscrite dans les valeures maximales enregistrées dans le monde. En fin, il est souhaitable que ce travail soit complété par des études consacrées à la biologie de reproduction et à l’écologie trophique de l’espèce à travers toutes les aires biogéographique ce qui permettra de cerner au mieux la combinaison certaine des facteurs responsables de cette expansion et de préconiser le schéma de conservation de la biodiversité en général à travers la connaissance des compétitions interspécifiques impliquant cette espèce dans les divers milieux qu’elle fréquente.Item Distribution et causes du Dynamisme du Héron Garde-bœufs (Bubulcus ibis) dans la vallée du Sébaou Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-18) Zalouk née Benani, DalilaNotre étude s’inscrit dans le cadre d’une contribution à la connaissance des causes du dynamisme du Héron garde-bœufs (Bubulcus ibis) en Algérie notament dans le centre Nord Algérien, dans la région de Tizi-Ouzou. Cet Echassier qui manifeste une extension démographique et géographique dans le monde, suscite l’intérêt de la présentation d’un état des lieux sur sa répartition à l’échelle nationale. Ce travail a conduit à des résultats d’une enquête nationale menée de septembre 1994 à mai 1995 concluant la présence de l’espèce tant en hivernage qu’en nidification dans plusieures régions du pays notamment dans le centre et l’Est. A une échelle territoriale plus réduite, en Kabylie, nous avons mené un travail de suivi des colonies en hivernage et en nidification pendant une période de trois années de 1993 à 1994, où les résultats concluent quant à l’augumentation et la prospérité des population du Héron garde-beoufs dans la région : - Le nombre de nicheurs est passé de 60 couples en 1993 à 706 couples en 1995 - Les hivernants sont passés de 450 individus en 1993 à 990 individus en 1995 Dans une dernière partie nous avons examiné et suivi un échantillon de reproduction d’une colonie dans un des nucleus à Tizi-Ouzou. Les phases de la phénologie de reproduction sont décrites et le succès de reproduction est estimé à 75% avec une taille de ponte moyenne de 4 inscrite dans les valeures maximales enregistrées dans le monde. En fin, il est souhaitable que ce travail soit complété par des études consacrées à la biologie de reproduction et à l’écologie trophique de l’espèce à travers toutes les aires biogéographique ce qui permettra de cerner au mieux la combinaison certaine des facteurs responsables de cette expansion et de préconiser le schéma de conservation de la biodiversité en général à travers la connaissance des compétitions interspécifiques impliquant cette espèce dans les divers milieux qu’elle fréquente.Item Ecologie alimentaire et utilisation du milieu par la Mangouste Herpestes ichneumon dans le Parc National du Djurdjura (forét de DARNA)(Université Mouloud Mammeri, 2012) Kebbab, LeilaL’étude de l’occupation du milieu et du régime trophique d’une population de Mangouste d’Égypte Herpestes ichneumon, a réalisée dans la forêt de Dama (parc national du Djurdjura), sud est de la wilaya de Tizi-Ouzou, sur une durée de 12 mois allant de mars 2010 a février 2011. L’analyse de la stratégie de l’utilisation de l’espace attribue un habitat-type l’Herpestidae, formé de paysages en mosaïque contenant un mélange de cultures et de zones de maquis. L’activité circadienne peut être crépusculaire, et serait une adaptation de son temps d’activité a celui de sa proie principale. L’analyse de la diète, effectuée a partir d’un échantillon de 360 fèces recueillies mensuellement, montre la prépondérance d’Ap0demus, l’importance des végétaux et la présence régulière des insectes. L’existence de corrélation entre les variations mensuelles de différentes catégories alimentaires et les facteurs de l’environnement souligne l’influence qu’exercent les conditions du milieu sur l’occupation de l’espace et l’écologie trophique de la Mangouste.Item Ecologie alimentaire et utilisation du milieu par la Mangouste Herpestes ichneumon dans le Parc National du Djurdjura (forêt de DARNA).(Université Mouloud Mammeri, 2012) Kebbab, LeilaL'étude de l'occupation du milieu et du régime trophique d'une population de Mangouste d’Égypte Herpestes ichneumon, à été réalisée dans la forêt de Darna (parc national du Djurdjura), sud est de la wilaya de Tizi-Ouzou, sur une durée de 12 mois allant de mars 2010 à février 2011. L'analyse de la stratégie de l'utilisation de l'espace attribue un habitat-type à l'Herpestidae, formé de paysages en mosaïque contenant un mélange de cultures et de zones de maquis. L'activité circadienne peut être crépusculaire, et serait une adaptation de son temps d'activité à celui de sa proie principale. L'analyse de la diète, effectuée à partir d'un échantillon de 360 fèces recueillies mensuellement, montre la prépondérance d'Apodemus, l'importance de végétaux et la présence régulière des insectes. L'existence de corrélation entre les variations mensuelles de différentes catégories alimentaires et les facteurs de l'environnement souligne l'influence qu'exercent les conditions du milieu sur l'occupation de l'espace et l'écologie trophique de la Mangouste.Item Effets de l’enrichissement (avec des concentres de protéines laitières) et des paramètres technologiques sur la qualité du yaourt fabrique a la laiterie Soummam d’Akbou(Université Mouloud Mammeri, 2011) Boubchir-Ladj, KahinaL’industrie de fabrication du yaourt en Algérie est fortement dépendante des marchés extérieurs caractérisés par des variations qualitatives de la matière première. Ceci engendre des difficultés pour garantir une bonne qualité du produit. Dans l’optique de se soustraire un tant soit peu à ces fluctuations préjudiciables à la valeur du produit fabriqué, la Laiterie Soummam d’Akbou s’est engagée dans une démarche visant à investir dans la production de lait cru. Une meilleure connaissance de la qualité du lait collecté aux fins de fabrication de yaourt permet d’adopter des processus technologiques les plus indiqués, limiter les défauts de fabrication et améliorer la qualité du produit fini. C’est précisément dans ce cadre de préoccupations que nous avons réalisé un suivi de l’évaluation des paramètres physico-chimiques du lait livré à la Laiterie Soummam d’Akbou. Les analyses ont montré que globalement les teneurs moyennes en extrait sec total, matière grasse, protéines et densité sont très satisfaisantes, à l’exception des centres de Tizi-Ouzou et à un degré moindre celui de Batna-Aïn el Beïda, où les taux se situent parfois au dessous des normes requises. Néanmoins des variations significatives ont été enregistrées selon la période de prélèvement considérée et/ou le centre de collecte considéré. Un des objectifs principaux assigné à ce travail est d’explorer l’impact des enrichissements avec des concentrés de protéines laitières (concentrés de protéines sérique et caséine présure) sur les propriétés organoleptiques du yaourt. Les essais expérimentaux réalisés et l’évaluation sensorielle qui a été menée dans ce sens ont révélé que l’enrichissement avec le concentré de protéines sériques (WPC), contrairement à la caséine présure (CNP), améliore d’une façon notable la viscosité et diminue le taux de synérèse des yaourts. Toutefois, Les propriétés sensorielles sont négativement affectées par l’adjonction d’une proportion de WPC dépassant 1%. En effet, le goût de cuit et le goût de lactosérum se trouvent majorés. Enfin, en s’appuyant sur des techniques électrophorétiques appropriées, nous avons par la suite montré que le traitement de pasteurisation pratiqué à l’unité induit une dénaturation non négligeable estimé à environ 30% des protéines sériques, quand celles-ci se retrouvent dans le lait avec les micelles de caséines. Cet effet est multiplié dans le cas des laits recombinés additionnés au lait frais où le double traitement (déshydratation/pasteurisation) est préjudiciable à la qualité nutritionnelle du produit fabriqué
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